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Jacqueline Gallicot Madar expose au CEJ

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Actualité Juive

Du 15 Octobre au 5 Décembre 2022

Jacqueline Gallicot Madar expose au CEJ

GRAND PALAIS

Octobre 2022

Film de l’exposition de Jacqueline Gallicot – Madar
au Grand Palais

Contemporanei nella città degli uffizi

10-13 Novembre

Entretien avec Jaqueline Gallicot Madar,

Contemporanei nella città degli Uffizi, Firenze

I24 News

07 Septembre 2022

Jacqueline Gallicot-Madar : 
Le bruit silencieux de la mémoire

Critiques

Entre Dieu et les hommes :
l’intercession de
Jacqueline Gallicot-Madar

La Gazette des Arts, par Chantal Guionnet-Fusco

Grégorio Rossi,
critique et historien d’art

Grégorio Rossi au Palazzo Bollani, Venise

Contemporanei nella città
degli Uffizi 2016

Jacqueline Gallicot-Madar per il Grande Canale della Pace

Interview – ART & DESIGN

Critique par Barbara Wahl

Elle ne signe pas ses tableaux, ou bien elle les signe d’un nom qui peu à peu s’efface dans le trait final du tableau. Dans son jeune âge, son professeur de dessin disait que, au-delà de son désordre, il voyait quelque chose sur ses feuilles…une lumière peut être.

Elle ne peint pas. Elle a l’impression que la peinture passe au travers d’elle, la traversant. Cela a commencé sous le coup d’une impulsion, comme une envie légère qui s’est intensifiée au point de devenir une nécessité inconfortable.

Le but de sa peinture n’est pas la décoration, l’agrément mais ce qui reste, toutes couleurs confondues : une lumière irisée proche de l’air et de l’eau.

Cependant, là où elle pense avoir peint des feuillages apparaissent, au seuil de la perception, des grillages. Sa première série se construit sur une multitude de traces : visage après visage, silhouette après silhouette. Elle ajoute les premières facettes d’un tableau interminable, celui qui réunirait sur une seule toile tous les visages de l’humain.

Par la suite, elle pense avoir entamé un nouveau parcours, vers une issue de la mémoire souffrante qui la hante. Les tournesols, coquelicots, roses qui ont surgi tout d’abord sous ses pinceaux ont été effacés, gommés, retirés car les pauses dans une nature consolante ne sont pas encore possibles. 

Salvatore Russo, historien d’art 

Préface du catalogue The Best Modern and Contemporary Artists

L’art contemporain est un champ de bataille où des blessés, des victimes et des hommes tentent, grâce à leurs capacités, de survivre. Ce sont les mêmes personnes dont nous voulons nous occuper et prendre soin. Dans ce volume, je ne parlerai pas des soldats, mais des artistes. Des artistes qui se battent chaque jour pour affirmer leurs idées, défendre leurs valeurs, qui correspondent à des choix stylistiques précis, pour émerger dans le Théâtre de l’Art, un théâtre qui a trop de marches et peu de protagonistes.

En choisissant ces artistes, nous nous sommes sentis en tant que directeurs : nous avons la tâche d’organiser notre casting comme si nous voulions réaliser un film. Notre travail, auquel ont participé environ mille « acteurs », a finalement donné vie à la structure de notre volume. Un volume, « The Best Modern and Contemporary Artists », qui rassemble une série de grands interprètes de signes. Chaque artiste nous montre, à travers ses œuvres, ses secrets les plus intimes, ses peurs, ses joies, la beauté de notre monde et la beauté du cosmos. Nous avons déjà parlé de l’art contemporain en disant que c’est comme un champ de bataille ; il en est ainsi. C’est un champ de bataille extraordinaire sur lequel l’artiste / soldat n’a pas besoin de se cacher, mais il doit faire face à l’ennemi, avec toutes ses armes pour le vaincre.

Dans ce volume prestigieux, nous trouvons de vrais guerriers, des artistes qui se lancent un défi à travers leur art. Ce que nous voulons enseigner aux gens, c’est que le général est mort et que le moment est venu pour le nouveau soldat de se battre et de remporter la bataille la plus difficile.

Critique par Salvo Nugnes 

Miami meets Milano. International Art Exhibition 2018

Dans les œuvres de Jacqueline Gallicot-Madar, il existe un élément temporel fort, donné par les signes fragmentaires et délavés, qui donnent l’idée du flux d’eau à sa surface. L’artiste représente donc le passage du temps. Les traits marqués et presque enfantins de leur apparente simplicité répétés plusieurs fois font partie de cette synthèse de formes qui voit la restitution des visages humains et des expressions réfléchies et mélancoliques demeurant immanentes. Jacqueline donne de la substance à la couleur, ce qui permet aux sujets de devenir des pierres que le fleuve du temps ne peut ni bouger ni enlever de la mémoire.

Critique par Sandro Serradifalco

Palermo International Art Award 2018

Pour le rôle important que son travail occupe dans la scène artistique contemporaine. Son art est un outil de communication indispensable, fruit d’une recherche expressive constante et d’une élévation stylistique rare.

Pour avoir contribué à renforcer la beauté de la rencontre et du dialogue sous le signe de la recherche et de l’évolution. Son travail devient un ambassadeur d’une vision qui considère la culture et l’art comme des outils indispensables pour faire grandir la collectivité.

Critique par Guido Folco 

« Italia Arte » Art Paris 2019

Jacqueline Gallicot-Madar est une artiste de la mémoire et du cœur. Dans ses visages sculptés par les traces du temps et de l’existence, presque effacés par le passage inexorable de la vie, on retrouve les sentiments d’une société à la recherche de l’essence de l’homme. L’artiste s’investit et par la peinture découvre l’humanité du monde, la profondeur de l’esprit. Elle le fait avec un geste artistique rapide et instinctif, presque une narration entre lumière et couleur de l’histoire éphémère de l’être. La réalité devient un prétexte pour bloquer un instinct d’infini et universel, un regard, une expression, jusqu’à l’absence totale de la figure, pour témoigner de ce qui reste de notre présence au monde.

Aussi, d’ailleurs poète et écrivain, l’artiste de cette manière parvient à connaître ses émotions les plus puissantes avec des images, elle nous fait partager des souvenirs et des visions oniriques, et laisse sur la peau des traces de mots, des arbres sourds silencieux qui explorent l’histoire de chacun. Écrit l’artiste « Je suis passée de l’écriture à la peinture sans jamais rompre avec l’écrit. Toujours dans une démarche qui s’est imposée à moi depuis mon jeune âge. Toujours en quête de comprendre le pourquoi des choses. La trace de la mémoire qui voyage dans le temps pour échapper à ce qui meurtrît. Libre, elle libère en se souvenant qu’il ne faut oublier.

Face à la toile, je livre un combat pour tenter de déceler une parcelle de vrai qui pourrait me faire avancer en pensant que : Demain sera un jour nouveau. »

Critique par Prof. Vittorio Sgarbi

Pro Biennale de Venise 2019

Romancière et poète, Jacqueline Gallicot-Madar dénonce en peignant l’injustice de la souffrance, en particulier celle concernant l’enfance des régions les plus défavorisées du monde. Un art rigoureusement sans fioritures, elle, confiante dans l’immédiateté de l’expression qui, dans la figuration élémentaire, trouve la visualité la plus liée à l’inconscient, car rien ne doit détourner de l’urgence de l’engagement moral. Mais Gallicot-Madar ne manque pas d’inspiration pour le lyrique, comme si chaque fantôme de visage, chaque image absorbée par elle évoque un besoin irrépressible de l’âme.

Critique par Salvo Nugnes 

New York International Art Expo

Jacqueline Gallicot-Madar, avec sa peinture, se concentre sur la figure humaine pour exprimer les maux qui affligent le monde. L’utilisation minimum de couleurs et des caractéristiques essentielles distinguent son travail, ce qui révèle un lien étroit avec l’écriture. Ce que l’artiste a l’intention de transmettre au spectateur est en fait une histoire faite des voix indistinctes, à travers des regards multiples qui convergent dans celui de l’observateur. En fin de compte, la dénonciation est si enracinée dans l’inconscient de l’observateur qui est lui-même remis en question. Les œuvres de Jacqueline Gallicot-Madar ont cette capacité: parler clairement et dévoiler la réalité telle qu’elle est, sans filtres.

Critique par Paolo Levi, historien d’art

Palermo International Art Award 2018

Il n’est pas facile de parler d’art dans le but de le décrire. Vous pouvez en décrire partiellement le sens, ou vous pouvez parler de son rôle dans la culture mondiale au cours des siècles, mais chaque mot ne sera jamais assez complet pour cela ; mais peut-être que l’art est quelque chose qui n’a finalement pas besoin de mots, mais seulement des cadres visuels de créativité. L’art est quelque chose qui appartient à tous, peu importe si vous êtes un expert ou un amateur, parce que l’art évoque les sentiments et les émotions, donc des préoccupations pour tout le monde, mais un véritable artiste peut donner cette image de sa créativité au public impatient de découvrir de nouveaux chefs-d’œuvre.

À travers une iconographie évocatrice, une organisation chromatique, une sensation personnelle et bien sûr des compétences techniques, nos artistes offrent au monde un cadeau très précieux. L’art est un domaine très vaste qui comprend plusieurs styles et techniques toujours enrichis par la personnalité de l’artiste. C’est donc un devoir pour nous tous de remercier ces incroyables artistes pour leur amour libre et leurs bonnes vibrations. C’est un devoir pour nous de souligner leur dévouement constant à transformer le monde en un lieu meilleur et plus poétique. Les artistes qui montrent leur sensibilité à chaque coup de pinceau, qui combinent les couleurs pour évoquer une sensation précise dans l’observateur, qui met leur cœur et leur esprit dans leurs œuvres. L’art peut être la sculpture, la photographie, la peinture ou autre chose, mais ce sera toujours quelque chose de moins important, car même si vous changez la forme de quelque chose, ce qui compte est l’essence.

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